Présentation

Équateur - Né en 1966
Le chant des Andes

Habitué à voir ses clichés publiés dans le prestigieux magazine américain National Geographic, Pablo Corral Vega, maître de la photographie couleur, n'a jamais oublié la mission qu'il s'est fixée en intégrant la profession : « J'ai toujours voulu être un témoin du monde, de sa diversité, de ses beautés. Ce qui me correspond, par nature, est de relater la culture, la vie quotidienne, l'Humain dans sa condition la plus simple et la plus noble ». Comme le jeune andin qui, dès l'âge de cinq ans allait à la pêche, parfois avec son père, et toujours avec son appareil photo ; le photographe équatorien est reparti à la découverte de la cordillère des Andes qui s’envole vers le ciel dans une chaîne de 8 500 kilomètres. Ainsi, depuis la Patagonie jusqu’aux Caraïbes, la colonne vertébrale déchiquetée de l'Amérique du Sud, relie les pays et les cultures. Rédigées par le Prix Nobel de littérature Mario Vargas Llosa, les légendes qui accompagnent les photos de cette exposition ne sont pas des descriptions objectives. Ce sont des fictions, des inventions de l’esprit inspirées par ces images envoûtantes : « Ces photographies nous présentent des êtres alourdis par l'oppression des siècles, des gens qui ont été exploités puis oubliés, des gens condamnés à vivre dans des conditions précaires et la conscience constante de la mort. Et pourtant, rien n'a atténué leur joie de vivre. »
Pablo Corral Vega_FestivalPhotoLaGacilly2020
Pablo Corral Vega_FestivalPhotoLaGacilly2020

Exposition

Pablo Corral Vega_FestivalPhotoLaGacilly2020
Viva Latina !
Le chant des Andes
Équateur - Né en 1966

Habitué à voir ses clichés publiés dans le prestigieux magazine américain National Geographic, Pablo Corral Vega, maître de la photographie couleur, n'a jamais oublié la mission qu'il s'est fixée en intégrant la profession : « J'ai toujours voulu être un témoin du monde, de sa diversité, de ses beautés. Ce qui me correspond, par nature, est de relater la culture, la vie quotidienne, l'Humain dans sa condition la plus simple et la plus noble ». Comme le jeune andin qui, dès l'âge de cinq ans allait à la pêche, parfois avec son père, et toujours avec son appareil photo ; le photographe équatorien est reparti à la découverte de la cordillère des Andes qui s’envole vers le ciel dans une chaîne de 8 500 kilomètres. Ainsi, depuis la Patagonie jusqu’aux Caraïbes, la colonne vertébrale déchiquetée de l'Amérique du Sud, relie les pays et les cultures. Rédigées par le Prix Nobel de littérature Mario Vargas Llosa, les légendes qui accompagnent les photos de cette exposition ne sont pas des descriptions objectives. Ce sont des fictions, des inventions de l’esprit inspirées par ces images envoûtantes : « Ces photographies nous présentent des êtres alourdis par l'oppression des siècles, des gens qui ont été exploités puis oubliés, des gens condamnés à vivre dans des conditions précaires et la conscience constante de la mort. Et pourtant, rien n'a atténué leur joie de vivre. »