Présentation

Argentine - Né en 1958
Pop Latino

Ses couleurs évoquent évidemment Martin Parr, son humour rappelle aussi celui de Peter Dench et ses images ne sont pas sans invoquer les codes d’Andy Warhol. Marcos López, grand nom de la photographie argentine, embrassera ce métier après la Coupe du monde de 1978 où il côtoie les photographes réunis pour couvrir l’événement. Connu pour sa série Pop Latino, ses photos se composent comme des tableaux où s’entrechoquent pop culture, culture américaine et clichés (dans tous les sens du terme) de l’Amérique latine. Bien loin de ses premiers travaux en noir et blanc publiés dans un livre en 1993, il illustre ici sa conception originale et surréaliste du monde qui l’entoure ; une critique amusée et cinglante de notre société de consommation et de notre époque moderne. « J’aime exagérer », aime répéter Marcos López, à la fois provocateur et observateur, mélangeant volontairement le profane et le sacré, revisitant à sa façon, dans un kitsch décapant, les grands tableaux religieux dans une société sud-américaine si empreinte de dévotion.
Marcos López_FestivalPhotoLaGacilly2020
Marcos López_FestivalPhotoLaGacilly2020

Exposition

Marcos López_FestivalPhotoLaGacilly2020
Viva Latina !
Pop Latino
Argentine - Né en 1958

Ses couleurs évoquent évidemment Martin Parr, son humour rappelle aussi celui de Peter Dench et ses images ne sont pas sans invoquer les codes d’Andy Warhol. Marcos López, grand nom de la photographie argentine, embrassera ce métier après la Coupe du monde de 1978 où il côtoie les photographes réunis pour couvrir l’événement. Connu pour sa série Pop Latino, ses photos se composent comme des tableaux où s’entrechoquent pop culture, culture américaine et clichés (dans tous les sens du terme) de l’Amérique latine. Bien loin de ses premiers travaux en noir et blanc publiés dans un livre en 1993, il illustre ici sa conception originale et surréaliste du monde qui l’entoure ; une critique amusée et cinglante de notre société de consommation et de notre époque moderne. « J’aime exagérer », aime répéter Marcos López, à la fois provocateur et observateur, mélangeant volontairement le profane et le sacré, revisitant à sa façon, dans un kitsch décapant, les grands tableaux religieux dans une société sud-américaine si empreinte de dévotion.