Chloé Azzopardi, Alisa Martynova et Maxime Taillez, lauréat·e·s de la 7e édition du prix Nouvelles écritures de la photographie environnementale.

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Chloé Azzopardi, Écosystèmes
Maxime Taillez, Frontières
Alisa Martynova, Nowhere Near
Chloé Azzopardi

Depuis sa création en 2004, le Festival Photo La Gacilly s’engage auprès des photographes pour leur diffusion et leur rémunération et met l’environnement au coeur de sa programmation. Chaque année, plus de 300 000 personnes y découvrent les travaux photographiques d’artistes français et internationaux, au sein d’un festival gratuit et en plein air.
Témoins privilégiés des grands bouleversements sociétaux et environnementaux, les photographes développent notre représentation de l’environnement et motivent très souvent l’évolution de nos comportements par leurs sujets, leur approche et leur esthétique.
Pour cette édition 2021, le Prix s’affirme et s’affranchit de thématique annuelle pour mieux s’ancrer dans l’actualité et récompenser les « nouvelles écritures de la photographie environnementale ».

Chloé Azzopardi, Alisa Martynova et Maxime Taillez sont les 3 lauréat·e·s de la 7e édition du prix Nouvelles écritures de la photographie environnementale 2022 organisé par le Festival Photo La Gacilly en collaboration avec Fisheye et avec le soutien en production du laboratoire Agelia.

Leurs 3 expositions seront présentées cet été dans le cadre de la 19e édition du Festival Photo La Gacilly.

Maxime Taillez

Chloé Azzopardi, Écosystèmes
Née en 1994, française
Alors que pendant longtemps la philosophie occidentale a tout fait pour distinguer l'humain de l'animal, Chloé Azzopardi nous suggère une fable futuriste dans laquelle les identités deviennent poreuses, un écosystèmes où de nouvelles relations inter-espèces peuvent être imaginées. 

Maxime Taillez, Frontières
Né en 1988, français
Depuis quelques années, Maxime Taillez documente les espaces d'échanges que sont devenues les frontières françaises, à l'heure de la mondialisation et de l'espace Schengen. Entre zones commerciales hors taxes, zones de loisirs ou espaces naturels, sa série porte un regard sensible sur la vie de nos frontières. 

Alisa Martynova, Nowhere Near
Née en 1994, russe
Oscillant du rouge sanguin au bleu nuit, la palette de couleurs d'Alisa Martynova suscite l'urgence. Sa série met en lumière de jeunes migrants Africains rencontrés en Italie, telle une constellation céleste faite d'étoiles éparses, chacune incarnant une individualité propre. 

LES CANDIDATURES EN QUELQUES CHIFFRES

• 205 candidatures reçues

• 47 % des candidats sont des femmes photographes

• 82 % candidataient pour la 1re fois au Prix depuis sa création en 2016

• 23 % des candidatures provenaient d’artistes étrangers ou binationaux

Alisa Martynova

DOTATION ET JURY

Les trois photographes lauréat.e.s du prix Nouvelles écritures de la photographie environnementale 2022, Chloé Azzopardi, Alisa Martynova et Maxime Taillez, bénéficieront :

• d’un accompagnement pendant deux ans par le Festival Photo La Gacilly,

• d’une exposition personnelle produite et rémunérée présentée lors de la 19e édition du Festival Photo La Gacilly cet été 2022,

• d’un accompagnement sur l’intégration au marché de l’art par la Fisheye Gallery, avec une exposition à Paris à l'automne,

• d’un abonnement d’un an à Fisheye Magazine,

• d’une mise en avant régulière des projets initiés durant l’année sur le site du Festival Photo La Gacilly et de Fisheye,

• d’une exposition produite et rémunérée au Festival Photo La Gacilly-Baden en Autriche en 2023.

 

Le jury était composé de :

Stéphanie Retière-Secret, Directrice du Festival Photo La Gacilly

Cyril Drouhet, Commissaire d’exposition du Festival Photo La Gacilly, Rédacteur en chef photo du Figaro Magazine

Bastien Duval, Coordinateur du prix Nouvelles écritures pour la photographie environnementale

Éric Karsenty, Rédacteur en chef de Fisheye Magazine

Anaïs Viand, Rédactrice en chef de Fisheye Magazine – web

Salomé d'Ornano, Directrice de la Fisheye Gallery

Téo Becher, Photographe, lauréat du Prix en 2017